Rock star légendaire, excès en série, hallucinations… et un cheval. Cette anecdote méconnue d’Ozzy Osbourne a de quoi surprendre, même les fans les plus aguerris. Car si l’ex-leader de Black Sabbath a longtemps été associé à la démesure, c’est un événement pour le moins improbable qui l’a poussé à tirer un trait sur le LSD.
Des années 70 marquées par les excès
Dans les années 70, Ozzy Osbourne nage en pleine gloire. Avec Black Sabbath, il enchaîne les tournées, les disques cultes… et les substances. Le LSD fait partie de son quotidien :
“J’en prenais 10 pilules à la fois. C’était presque routinier”, a-t-il confié dans une interview à Classic Rock Magazine.
À cette époque, rien ne semble pouvoir arrêter sa descente dans l’excès. Jusqu’au jour où une rencontre inattendue va tout bouleverser.
Le cheval qui parle : hallucination ou révélation ?
Un jour, en pleine campagne anglaise, alors qu’il est sous l’effet du LSD, Ozzy croise un cheval dans un champ. Jusque-là, rien d’anormal… jusqu’à ce que l’animal commence à lui parler.
“Ce cheval m’a regardé et m’a dit : ‘Tu en as fini avec ça maintenant, Ozzy’”, racontera-t-il plus tard, avec un mélange d’humour et de sérieux.
Un simple délire hallucinatoire ? Peut-être. Mais pour Ozzy, le message est clair, et il le prend au sérieux. Il affirme avoir cessé toute consommation de LSD juste après cette scène.
Une rupture nette avec le psychédélique
Bien qu’il ait continué à consommer d’autres substances par la suite (avant un sevrage bien plus tardif), le LSD disparaît totalement de sa vie après cet épisode. Pour une rock star connue pour repousser toutes les limites, cette décision soudaine étonne.
“Quand un cheval commence à te parler, c’est que t’es allé trop loin”, résumera-t-il plus tard, avec lucidité.
Une anecdote culte devenue légende
Parmi toutes les histoires qui entourent Ozzy Osbourne — des morsures de chauve-souris aux frasques télévisées — celle du cheval qui parle reste l’une des plus marquantes. D’abord racontée à la presse britannique, elle a depuis circulé sur les réseaux, fascinant autant qu’amusant les fans de rock.
