« On a volé mes cornichons » Patrick Balkany se plaint de ses conditions de détention

Transféré dans la même cellule que Djo Lopez après son évasion, le maire de Levallois à la vie dure et mesure la triste réalité de la vie carcérale.

Après sa spectaculaire évasion sur le flyboard de Franky Zapata, Patrick Balkany a été arrêté au domicile de Jean-Luc Mélenchon. Le président de la France Insoumise planquait le maire en cavale, parce qu’il perçoit la condamnation de Patrick Balkany comme une utilisation abusive du judiciaire pour faire taire le politique. « Lula, Balkany, moi. Même combat ! » hurlait Mélenchon lors de la perquisition à son domcile qui a permis de retrouver Patrick Balkany caché sous le lit de l’Insoumis.

Ramené en prison, le maire de Levallois a été transféré dans la même cellule que Djo Lopez, le chef du clan gitan « Les Lopez du 63 ». Depuis qu’il a quitté sa luxueuse cellule à la prison de la Santé, Patrick Balkany se plaint de ses conditions de détention.

« On a volé mes cornichons » aurait confié Patrick Balkany à son épouse Isabelle. Le maire de Levallois s’était fait livrer plusieurs bocaux de cornichons, qu’il suce pour essayer d’arrêter de fumer. « Il se plaint de son petit camarade de chambre qui ronfle la nuit » explique Isabelle Balkany en parlant du codétenu de son mari. Dans sa nouvelle cellule, très différente de sa suite l’étage VIP de la prison de la Santé, Patrick Balkany n’a pas Internet, et ne peut pas commander au room service. « Il perd du poids et il s’ennuie » se lamente Isabelle Balkany.

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