Les autocollants « Bébé à bord » fièrement collés sur les pare-brises des jeunes parents, cacheraient en réalité un sordide réseau de pédophilie.
Tout le monde connaît les stickers « Baby on board » vendus dans le commerce depuis de très nombreuses années sous prétexte d’augmenter la sécurité tout en affichant sa fierté parentale. Mais peu de gens savent que derrière ces autocollants d’apparence innocente se cache en réalité une toute autre réalité, beaucoup moins innocente celle-là.
C’est tout à fait par hasard que Gabrielle Fauré, une jeune maman de 29 ans, va révéler au grand jour ce complot pédophile international et dirigé depuis le Vatican. C’est en essayant de décoller l’autocollant « Bébé à bord » de son véhicule, que la jeune femme découvre quelques mots écrits en latin écrits au dos de celui-ci : « C’était l’adresse d’une imprimerie au Vatican » explique la jeune femme au micro de FranceInfaux. « Avec tout ce qu’on entend sur les prêtres pédophiles, j’ai eu peur » confie la maman qui est allé au commissariat pour déclencher une enquête de police.
Après quelques jours d’investigation, le pot au roses est découvert : c’est un réseau pédophile international, dirigé depuis le Vatican, qui fabrique et commercialise les autocollants « bébé à bord » vendus dans le monde entier. Utilisé par les pédophiles de tous les continents pot repérer d’un coup d’œil les véhicules intéressants, les stickers représentent aussi beaucoup d’argent et c’est une grosse manne financière pour le Vatican.
Louis Gonard, le commissaire chargé de l’affaire a saisi plusieurs documents financiers attestant de l’importance des sommes collectées : « A 25€ l’autocollant, ce sont plusieurs millions d’euros que la société Pedo Corporation a amassé en 30 ans, et cet argent finance entre autres des sites internet illégaux en France ».
Librement adapté d’un vieil article du Courrier des Échos
