Patrick Balkany a scotché un cornichon sur le mur de la prison pour payer sa caution

Ruiné, le maire de Levallois n’a pas trouvé d’autre solution que l’expression artistique pour s’acquitter des 500 000 euros demandés par la justice pour le libérer sous caution.

Le couple Balkany prétend ne plus avoir un centime pour payer ses nombreux frais de justice. Le couple ne dispose pas non plus des 500 000 euros demandés comme caution par la justice pour libérer Patrick Balkany. Après avoir lancé une cagnotte qui fut un fiasco, les Balkany se tournent vers l’art. Très inspiré par la banane à 120 000 dollars de l’artiste italien Maurizio Cattelan, Patrick Bakany a scotché un cornichon sur le mur de la prison de la Santé et espère en tirer un demi million.

C’est aussi parce que Patrick Balkany est complètement fauché qu’il a viré son avocat maître Dupond-Moretti pour engager Juan Branco, le seul avocat gratuit. Mais le maire de Levallois ne désespère pas de trouver un riche mécène pour acheter son cornichon et financer son talent artistique.

La banane de Cattelan continue d’inspirer les artistes, comme ce sans-abris parisien qui a scotché dix bananes sur un mur dans l’espoir de devenir millionnaire. Le choix de Patrick Balkany s’est tourné vers le cornichon, car il en consomme beaucoup. En effet, Patrick Balkany suce plusieurs dizaine de cornichons par jour, dans l’espoir d’arrêter de fumer.

Patrick Balkany a beaucoup changé en prison. Devenu communiste après son évasion en flyboard avec la complicité de Franky Zapata, il se fait appeler “Papa Trotski” par ses codétenus avec qui il partage ses cornichons. Le maire de Levallois se remet doucement de sa double hernie fiscale.

Proposé par Cé M. dans le très select Groupe SecretNews

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