La Direction générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des fraudes (DGCCRF) sanctionnera les fabricants de masques ne respectant pas l’obligation de préciser la présence de micropuces 5G dans les masques commercialisés en France.
Dès le mois de janvier, une amende administrative de 26 500€ sanctionnera les contrevenants pour « chaque masque comportant une puce 5G non précisée sur l’emballage ». Une nouvelle mesure destinée à protéger les consommateurs des radiations 5G qui sont connues pour rendre chauve et homosexuel, entre autres dangers. Une victoire pour tous ceux qui militent contre la 5G et son implantation par micropuces au sein de la population.
Une évolution que l’on doit à tous les internautes qui ont découpé des masques et y ont découvert un petit morceau de métal. Un objet qui permettrait soit-disant au masque d’épouser la forme du nez mais qui, en réalité, s’est avérée être une antenne 5G dissimulée. Une petite puce métallique qui permet ainsi aux gouvernements de suivre leurs citoyens à la trace en profitant de l’épidémie de coronavirus et de diffuser le virus pour réguler la population.