La multiplication des cas de mycose génitale et de prurit vaginal a incité les spécialistes à en étudier les causes.
Les chercheurs de SANOFI étant désœuvrés suite à la pandémie, ils se sont attelés à la question avec la remarquable rapidité qui fait leur réputation. Après de longues et difficiles recherches ils ont finalement découvert grâce à l’expérience personnelle de plusieurs d’entre eux, que les Français déjà peu habitués à changer de slips avant l’épidémie ne les changent désormais qu’une fois par mois en moyenne et évitent de les laver pour ne pas les user faute de pouvoir en acheter des neufs en magasin.
Cette macération un peu trop longue permet la prolifération des petites cellules odoriférantes et gênantes pour tout le monde.
Les slips comme les chaussettes sont, rappelons-le, considérés comme des biens non essentiels de même que les portes de placard et contrairement aux étagères.
L’Ordre des médecins a obtenu du Premier ministre qu’il autorise la vente des slips en pharmacie. Pour éviter tout débordement, les slips ne seront délivrés que sur ordonnance du médecin traitant et contre remise du slip usagé.
Une action identique est en cours concernant les portes de placard.