C’est un spectacle pour le moins insolite que nous a offert Stéphane Bern ce mardi sur les Champs Élysées à Paris. L’animateur bien connu des Français a décidé de tuer l’ennui en montrant ses fesses aux voitures, aux passants et à la police…
C’est le genre de fait-divers croustillant pour lequel on commence souvent l’écriture par le mot « ivre ». Mais ce qui rend encore plus insolite la situation, c’est que Stéphane Bern n’avait pas bu une seule goutte d’alcool lors des faits. En effet, hier à Paris, l’animateur a complètement craqué. Il a surpris de nombreux automobilistes sur les champs Élysée Pourquoi ? Car Stéphane Bern a décidé de montrer ses fesses en plein milieu de l’après-midi.
C’est le journal le Socialiste Lorrain qui a dévoilé cette information pour le moins… insolite. En effet, l’animateur de 53 an a commencé par se tapoter le derrière devant les passants dans la rue. Mais il ne s’est pas arrêté à cette simple blague… En effet, il a été jusqu’à pratiquer son exhibitionnisme devant une patrouille de police masquée par une voiture banalisée… Comme quoi, parfois le karma fait les choses d’une manière totalement logique.

Une excuse encore plus insolite …
Bien évidemment, les policiers n’ont pas mis longtemps à l’interpeller. Mais l’excuse de Stéphane Bern est encore plus insolite que ses actes. Il a en effet déclaré aux policiers que ses gestes sont simplement un moyen de contrer l’ennui. Il a donc dit aux policier qu’il souhaitait seulement se divertir un peu. Il sera déféré devant un tribunal au mois de juillet pour exhibition publique…
Selon l’article 222-32 du code pénal, l’exhibition, si elle est à caractère sexuelle, peut être lourdement punie. « L’exhibition sexuelle imposée à la vue d’autrui dans un lieu accessible aux regards du public est punie d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende », explique le texte de loi.