« Le jeune enfant est en apprentissage au sein de sa propre espèce, et nous avons mis en évidence qu’un déguisement d’une autre espèce animale pourrait perturber ses progrès d’apprentissage et son développement cérébral neurobiologique. L’enfant doit grandir avec la conscience de son identité propre, sans interférence avec des facteurs animaux extérieurs qui pourraient induire en erreur les instincts naturels du petit humain » , conclut le Dr Bistouille qui a dirigé cette étude «