C’est en analysant les restes carbonisés d’une famille malienne que les chimistes d’une ONG ont découvert le pot aux roses.
La composition chimique de la bombe utilisée présentait de nombreuses et graves anomalies.
Sommé de s’expliquer, le gouvernement français a été obligé de reconnaître que ses bombes incendiaires n’avaient pas été présentées au contrôle techniques des services de la Commission Européenne.
En contravention avec les termes du Traité Européen et de la législation actuelle sur les armements européens autorisés.
A la clef, une amende qui promet d’être conséquente.
Et aussi, problème plus sérieux, ce scandale va entrainer une interruption momentanée des bombardements sur les villages sahariens.
Navrant !