Depuis l’incendie de l’usine chimique Lubrizol, Rouen est devenue le nouvel Eldorado pour les compagnies pétrolières.
Depuis ce week-end, l’or noir coule à flot, et l’extraction de l’huile de roche ne nécessite pratiquement aucun investissement ; Il suffit juste de racler les murs ou d’ouvrir un robinet. Autant dire que Rouen risque de détrôner l’impitoyable Dallas, et cette profusion miraculeuse attise déjà les convoitises des compagnies pétrolières, à tel point que l’on s’étonne que le président Trump n’ait pas encore proposé d’acheter la Normandie.
Pour éviter une chute du cours que cette augmentation considérable de l’offre ne manquera pas de générer, l’OPEP vient de nommer la ville de Rouen comme membre permanent de son organisation. La ville normande devient ainsi la première contrée européenne à adhérer à L’Organisation des pays exportateurs de pétrole.
Yvon Robert, maire de Rouen est également pressenti pour devenir prochainement le secrétaire général de l’organisation, tant le volume d’exportation envisagé fait maintenant de la ville un membre influent sur le marché pétrolier.
Emmanuel Macron salue avec enthousiasme cette nouvelle nomination, qui montre au monde entier, l’incroyable efficacité de la Start-up nation.
Petite anecdote : L’académie française se réunira lundi pour décider si il convient de modifier l’adage populaire qui disait : « En France, on a pas de pétrole, mais on a des idées !» qui deviendrait : « en France, on a des idées pour avoir du pétrole ! »
