La panique gagne les ménages américains. Les bulles spéculatives comme les bitcoins et autres monnaies virtuelles, et sur lesquelles les abrutis se sont jetés comme un français sur un pot de Nutella en promo, sont en train d’éclater.
Le monde civilisé, mais également les pays de merde, vont plonger dans le chaos de la crise financière. Il faudra bientôt une brouette de billets pour aller acheter une douzaine d’œufs. La famine règnera sur l’occident. Des maladies éteintes referont leur apparition, même chez ceux qui ont leur carnet de vaccination à jour, et Charles Aznavour continuera de chanter pour assurer ses derniers jours.
Bref, nous serons proches de l’apocalypse que les religieux de tous poils nous promettent depuis des siècles pour continuer à nous garder dans un état de servitude béate.
Mais un homme peut encore nous sauver. L’homme le plus puissant du monde, le président des USA pourrait sauver le monde entre deux tweets.
Et le bougre s’y active déjà. Lorsque ses conseillers lui ont conseillé de faire en sorte que la bourse remonte, il a aussitôt annoncé une mesure phare.
Déménager les bureaux de Wall Street au sommet de la Trump-Tower est selon lui le plus sûr moyen de faire remonter la bourse et de la maintenir sur la durée au-dessus des eaux.
Cette mesure présentera un deuxième avantage non négligeable aux yeux de l’homme à la moumoute St. Maclou. Les bâtiments de Wallonie street ainsi vidés par ce déménagement, fourniront un stock de brique qui permettra enfin de construire à moindres frais ce putain de mur à la frontière mexicaine.