La plupart des ouvrages disponibles en français présentent l’homosexualité comme la résultante d’une enfance ou d’un environnement particulier voire d’un choix, et ce, au mépris des données scientifiques.
« Plutôt que de parler de « gène gay » chez l’homme, il faudrait davantage envisager un (ou plusieurs) »gène de l’amour pour les hommes », tout comme il pourrait exister un (ou plusieurs) gène contraire, chez la femme. Tout n’est pas sexuel dans nos attirances.
Tout à fait. Avec une marge d’erreur possible de 0,2%. Sur simple demande les parents pourront effectuer un test génétique et dans la quinzaine ils auront les résultats. Il faut préciser que ce test sera extrêmement coûteux, et non remboursé par la sécurité sociale.
Le législateur y a évidemment pensé. C’est pour cela que les tests génétiques de dépistage de l’homosexualité ne pourront se faire qu’après la 12ème semaine de gestation, une fois que le délais légal pour avorter est dépassé.