La nouvelle a fait l’effet d’une bombe : la première ministre Élisabeth Borne a annoncé la mise en place de jeux à gratter sur les serviettes hygiéniques pour lutter contre la précarité menstruelle. Si certains ont salué cette initiative, d’autres ont rapidement critiqué cette mesure farfelue.
Selon la première ministre, les femmes pourront désormais se divertir et tenter de gagner de l’argent pendant leurs périodes difficiles, ce qui devrait permettre de financer des campagnes de sensibilisation sur la précarité menstruelle. Cependant, certains ont souligné que cette mesure pourrait créer une dépendance aux jeux de hasard, et que les femmes en situation de précarité n’ont pas besoin d’un nouveau passe-temps, mais de produits d’hygiène menstruelle gratuits.
Cette décision a également suscité des réactions de la part des associations féministes, qui ont dénoncé cette mesure comme une atteinte à la dignité des femmes. Selon elles, les serviettes hygiéniques ne devraient pas être utilisées comme support publicitaire pour les jeux de hasard.
Malgré ces critiques, Élisabeth Borne a défendu sa décision avec conviction. Elle a affirmé que les jeux à gratter sur les serviettes hygiéniques sont une solution innovante pour lutter contre la précarité menstruelle, et qu’ils permettent également d’offrir une distraction bienvenue pendant cette période difficile.
Il reste à voir si cette mesure controversée sera réellement efficace pour aider les femmes en situation de précarité menstruelle. En attendant, les jeux à gratter sur les serviettes hygiéniques continuent de faire couler de l’encre, au grand dam des défenseurs des droits des femmes.