N’en déplaise aux sodomites zoophiles, quand la science avance, le pangolin ne recule pas. Non, ces manidés sont bien décidés coûte que coûte à éradiquer cette race de nuisibles prédateurs que sont les humains. Ces bipèdes dégénérés sont la cause principale de la disparition imminente des pangolins. Une tuerie d’autant plus stupide qu’elle n’est pas indispensable à la survie des humains qui les exterminent.
Avec la complicité des chauves-souris, les pangolins ont donc transmis un virus à l’homme, grâce à un vecteur chinois, les plus à même de propager rapidement l’épidémie.
Le plan diabolique était en marche, favorisé par la démarche des septiques, des antimasques et autres complotistes. Afin de retarder la recherche d’un vaccin, les pangolins se sont attachés la complicité de professeurs et autres savants narcissiques qui minimisaient la crise sanitaire et prétendaient avoir déjà la solution au problème.
Mais les humains ont fini par réagir et chercher un remède fiable, même si l’annonce du premier vaccin venant de Russie et dont on est sans nouvelles, n’ a pas inquiété les pangolins.
Mais les récentes annonces de différents laboratoires assurant que leur vaccin était efficace à 90 voire 95 % contre la Covid-19 a obligé les scientifiques pangolins à réagir.
Si le vecteur d’infection restait efficient, les chinois n’ayant toujours pas renoncé à leurs facéties alimentaire, il fallait améliorer la formule du virus.
Et c’est chose faite depuis une semaine. L’ANPE (Association Nationale des Pangolins Énervés) annonce l’arrivée prochaine sur le marché d’un virus efficace à 95% contre le virus. Ce nouvel agent infectieux est également transmissible via d’autres animaux comme le vison et peut être demain le cochon, le chien ou le platiste.
Si ce nouveau virus ne permet pas d’éradiquer définitivement les humains, les pangolins ont en resserve une autre arme secrète, qui rendra les humains dépendants au point de se battre entre-eux pour la posséder ; Un genre de pâte à tartiner à base de noisettes qui pourrait bien décider du sort de l’humanité.