10.000 cobayes pédophiles réquisitionnés pour tester les produits alimentaires de marques pointées du doigt avant leur commercialisation sur le marché de la grande distribution.
Les rappels massifs de pizzas Buitoni et de chocolats Kinder questionnent sur la sécurité alimentaire en France, qui repose encore beaucoup sur l’autocontrôle des entreprises agroalimentaires. Le décès d’un singe participant à un essai clinique lors d’un test de consommation à Paris, la semaine dernière dans un laboratoire Lactalis, a relancé le débat sur ces tests jugés trop peu performants.
En France plus de 500 000 tests de produits alimentaires sont réalisés chaque année sur des animaux de laboratoire. Dorénavant ces tests de produits potentiellement dangereux seront en partie réalisés sur des détenus incarcérés pour des faits de violence sur mineurs et/ou pédophilie. Ce qui permettra d’évaluer les effets secondaires des produits alimentaires sur des sujets humains.
Si les grandes universités disposent de leur centre de recherche et mènent des essais cliniques dans les hôpitaux auxquels elles sont attachées, les grosses firmes de l’agro-alimentaire ont investi dans leurs propres centres de recherche et de développement et pourront dorénavant pratiquer leurs tests sur des pédophiles récidivistes au sein même des établissement pénitenciers.
Les détenus désignés pour ces études seront nourris gratuitement avec des produits jugés à risque. Les survivants pourront demander un aménagement de peine.