Un reportage de notre correspondant anonyme infiltré en Belgique : Jean Quatrétrons
» Dès le départ le décor est planté, lorsque j’apperçois les fameux pickups Toyota de Daesh parader sur les boulevard au nez et à la barbe des autorités barricadées dans leur commissariat. «
C’est par un beau matin de septembre que j’ai rencontré Ahmed à la guerre du Midi dans le centre de Bruxelles, en Belgique. Ahmed est passeur, il me propose de me conduire à Molenbeek pour quelques dizaines d’euros, j’accepte sans marchander bien qu’Ahmed ne m’inspire aucune confiance. Son accent arabe témoigne de ses nombreuses relations au sein de l’Etat Islamique, certainement. Plus tard mes soupçons se confirmeront quand je m’apercevrai qu’il lui arrive de prier et même de psalmodier du charabia que j’imagine être des extraits du Coran. Ahmed n’est pas de mon côté, c’est évident. Néanmoins j’arrive à bon port : Me voici à Molenbeek. En pleine zone islamiste, ou la police n’a aucun droit, ou la justice s’appelle Charia … Dès le départ le décor est planté, lorsque j’apperçois les fameux pickups Toyota de Daesh parader sur les boulevard au nez et à la barbe des autorités barricadées dans leur commissariat.
» La vie est courte sous la charia islamiste, comme en témoignent ces cadavres qui jonchent les rues, victimes des derniers bombardements d’Eric Zemmour. «
Sur la place communale de Molenbeek, j’aperçois des hommes barbus en djellabas, ils portent des armes en bandoulière, je reconnais l’ombre des Kalachnikovs. Quelques femmes en burkini dansent sous les jets d’eaux des fontaines, timidement, car les hommes, tous très violents, ne sont jamais très loin et veillent au grain à la bonne moralité de leurs épouses. La vie est courte sous la charia islamiste, comme en témoignent ces cadavres qui jonchent les rues, victimes des derniers bombardements d’Eric Zemmour.
» C’est aussi pour cela qu’on retrouve de nombreux djihadistes thaïlandais à Molenbeek, principalement originaires de Djakarta. «