La semaine dernière et dans le souci de ne vous partager que des informations vérifiées, nous avons relayé dans ces pages une déclaration que le pape a faite à Eugenio Scalfari le fondateur du journal La Repubblica.
Le souverain Pontife a nié l’existence de l’enfer, lieu plus torride que la chambre de Stormy Damniels, où le Très Haut enverrait les âmes pècheresses.
Selon François, les personnes qui se repentent monteront près du seigneur, les autres cesseront simplement d’exister, ce qui logiquement devrait être son cas si il ne se repent pas d’avoir menti et couvert ensuite par son silence son ami pédophile, condamné depuis.
Bien sur la branche conservatrice (euphémisme pour ne pas user du qualificatif fasciste) du Vatican s’est empressée de démentir les propos de son chef, promettant le feu éternel de l’enfer aux pêcheurs. La peur d’un châtiment éternel restant le meilleur moyen de fidéliser le client.
Et l’homme qui cumule les titres de Prince des Apôtres et roi des faux-culs n’a pas jugé utile de maintenir ses propos.
Entretien avec le Diable
Mais outre le scoop de l’interview du pape, Eugenio Scalfari peut s’enorgueillir d’un autre entretien avec une personnalité célèbre chez les chrétiens, en la personne de Lucifer, le diable.
Très lucide et enclin à la conversation, Lucifer a confié au journaliste en avoir marre d’être toujours le bouc-émissaire qui permet à Dieu de garder sa réputation de gentil.
Mais le plus surprenant reste cette courte déclaration de l’ange déchu, qui nie l’existence du Pape. Le Christ n’a jamais eu de Vicaire à ma connaissance. Et si il en avait eu un, il ne serait pas aussi mauvais et surtout hypocrite que ce François Preums, qui a menti en déniant avoir été confronté à un problème de prêtres pédophiles, et qui derrière des actions marketing pieuses, a du mal à cacher sa haine pour les athées.
Quant à ses prédécesseurs, entre les premiers papes de l’église romaine dont l’existence est loin d’être prouvée, les papes qui ont fermé les yeux sur les massacres des infidèles au Mexique et en Amérique du Nord, jusqu’au Souverain Pontife qui a couvert la fuite des généraux nazis, on est en droit de douter qu’ils soient les représentants du Christ sur terre.
Un entretien qui risque de soulever des polémiques et dont les pontes du Vatican ne tarderont pas à douter véhémentement de la véracité.
Un article proposé par Heudebert
