S’il a fait du combat contre les petits consommateurs sa priorité, c’est parce que le ministre de l’Intérieur à connu l’enfer de la drogue. « Je m’en suis sorti grâce à l’alcool et aux femmes à moitié-consentantes » explique le ministre qui ne garde qu’un vague souvenir de ses années de junkie .
Gérald Darmanin a prévenu : la lutte contre la drogue sera sa priorité absolue. Un combat novateur, auquel aucun politicien au monde ne s’était risqué avant lui. Mais si le ministre de l’Intérieur se lance dans cette guerre, qu’il gagnera probablement, c’est parce qu’il a lui même connu l’enfer de la dépendance aux stupéfiants. « Je fumais une bonne dizaines de joints par jour, parfois épicés à la cocaïne » explique Gérald Darmanin au micro de France-Infaux.
Sortir de la drogue grâce à l’alcool
Son passé de Junkie derrière lui, Gérald Darmanin explique qu’il s’est extirpé de sa dépendance au cannabis grâce au « pinard » et aux femmes « à moitié consentantes », qui l’ont aidé à trouver d’autres plaisirs, plus simples et plus sains. Ancien toxicomane devenu ministre, Gérald Darmanin n’a plus jamais touché à un joint depuis sa prise de fonctions. « Sauf un gros deux feuilles tous les vendredis soirs, mais c’est tout » affirme le ministre repenti.