Alors que le président bolivien a annoncé sa démission, l’ex premier ministre Français, détenant le record de candidatures à des élections, se lance dans l’aventure politique en Bolivie.
Le chaos règne en Bolivie après ce qui s’apparente à un coup d’état. Lâché par la police et par l’armée, Evo Morales a démissionné après des semaines de manifestations contre sa réélection en octobre. Une place désormais vacante à la tête de l’état bolivien … que Manuel Valls convoite.
Bien que les sondages le place en dernière position pour l’élection au Liban, qu’il ne reçoit pas le soutien de la reine pour sa candidature en Angleterre, que l’opinion Vénézuélienne ne s’intéresse pas à lui, et qu’il semble mal parti pour représenter les parents d’élèves d’une école primaire, Manuel Valls décide de saisir cette nouvelle opportunité en Bolivie.
Toujours à l’affût d’un poste intéressant, l’ancien Premier ministre français a en effet annoncé, sans perdre une minute, sa candidature officielle aux élections anticipées qui seront probablement organisées en Bolivie. « Je vais là où on a besoin de moi, en plus je parle bien l’espagnol » a expliqué Manuel Valls au micro de France-Infaux.
Manuel Valls, candidat expérimenté déjà engagé dans de nombreuses courses électorales à travers le monde : en Espagne, au Liban, en Angleterre, au Vénézuela, en Algérie, en Belgique, au Soudan et même à Levallois, s’est dit prêt à faire profiter la Bolivie de sa ténacité et de sa capacité à s’adapter à toutes les situations.
S’il est élu, Manuel Valls devra quitter son emploi d’équipier polyvalent chez McDonald’s.