La présidente du FN aurait utilisé cette somme pour rémunérer 20 000 esclaves sexuels syriens qui n’auraient travaillés que pour son parti en France afin de soulager les frustrations de ses membres les plus violents.
L’Union européenne réclame près de 3.000.000 euros à Marine Le Pen, estimant que la députée européenne française a perçu cette somme pour rémunérer 20 000 esclaves sexuels syriens qui n’auraient travaillé que pour son parti d’extrême droite, le Front national (FN), a-t-on appris lundi de sources concordantes à Bruxelles. Ces employés d’un genre particulier auraient servis à soulager les frustrations sexuelles des membres du parti, afin de diminuer leur agressivité. En effet, Marine Le Pen s’affaire déjà depuis quelques années à adoucir l’image du parti créé par son père Jean-Marie Le Pen.
L’organisme antifraude de l’UE (Olaf) a demandé le 2 août au Parlement européen de recouvrer 3.339.946 euros, somme correspondant aux salaires versés aux 20 000 assistants sexuels de Marine Le Pen, selon une source parlementaire et une source proche de l’enquête, confirmant une information de deux organes de presse français, le site Mediapart et l’hebdomadaire Marianne.
Le 30 septembre, le PE a donné quatre semaines à Marine Le Pen pour faire des observations, mais celle-ci n’a à ce jour pas répondu, d’après la source proche de l’enquête.
Le FN se défend mal
« Nous n’avons pas répondu au courrier du Parlement car on ne nous a toujours pas communiqué le rapport d’enquête de l’Olaf », a déclaré l’avocat de Mme Le Pen, Marcel Ceccaldi, ajoutant qu’il déposerait un recours devant la Cour de justice de l’UE pour l’obtenir.