Enfin une bonne nouvelle dans la lutte contre la pandémie. Le Conseil d’État vient de valider l’amendement autorisant les chasseurs à remplacer leurs fusils à cartouches habituels par des armes hypodermiques contenant des doses de vaccin anti Covid.
Le président a entendu l’appel du peuple et ne désire pas durcir des mesures sanitaires déjà contraignantes, à moins d’un an de l’élection présidentielle. Contre l’avis de ses conseillers, il renonce à l’obligation vaccinale et même au pass sanitaire obligatoire.
Cette mesure présente 3 avantage pour l’avenir de notre pays et accessoirement l’apaisement des des débats dans la société :
- Par cette mesure, il calme les ardeurs des ennemis de la chasse. Le gibier sera endormi au lieu d’être abattu, une mesure plus respectueuse du bien-être animal.
- Le gibier ainsi capturé sera automatiquement immunisé contre les formes graves de la maladie. Certes, il n’existe aucune preuve scientifiques attestant d’une éventuelle contamination d’un humain transmise par un animal quelconque, mais deux précautions valent mieux qu’une.
- Dernier avantage et non des moindres, le nombre de français vaccinés risque d’augmenter plus sûrement et rapidement, les chasseurs ayant cette fâcheuse habitude de confondre le gibier avec les promeneurs et autres cyclistes.
La signature du décret autorisant l’ouverture exceptionnelle de la chasse dés ce week-end, permettra, selon les pronostic les plus optimistes, d’atteindre une couverture vaccinale de la population de 95% à partir du 15 août.
Les premières doses de vaccins devraient être livrées demain dans les différentes fédérations de chasse régionales.