Confronté à la colère des policiers et d’une partie de l’opinion publique, le gouvernement a été obligé de « durcir » encore sa politique sécuritaire !
Les options possibles n’étaient guère nombreuses, car après des dizaines de lois anti-casseurs, anti-drogues, anti-terroristes, anti-manifestants, et autres perturbateurs du « vivre ensemble » macroniste, il devenait difficile d’inventer de nouveaux procédés répressifs.
D’autant que le gouvernement doit impérativement marquer les esprits et imprimer sa marque « sécuritaire » en vue des prochaines échéances électorales de 2022 !
Alors s’est lentement imposée la stratégie du « oeil pour oeil »: toute personne qui s’attaque physiquement à un policier doit subir en retour un châtiment qui atteint son intégrité physique.
En dehors, bien sur, du rituel passage à tabac automatique qui n’impressionne plus que les jeunots !
A l’évidence la sanction pénale de la castration coche toutes les cases.
D’un point vue scientifique c’est une opération bénigne qui contribue à diminuer fortement le taux d’agressivité des délinquants.
Et d’un point de vue social c’est un juste châtiment qui redonnera espoir à la population terrorisée chaque soir en écoutant les journaux télévisés.
Et cela devrait puissamment dissuader les voyous les plus endurcis !
Curieusement, une légende urbaine absurde rapporte que cette idée originale proviendrait d’une écoute policière de terroristes djihadistes discutant des vertus de la Charia.