La présidente de l’UNEF, Mélanie Luce, a rendu sa décision concernant la participation des métisses aux réunions « non mixtes » qui « permettent aux personnes touchées par le racisme de pouvoir exprimer ce qu’elles subissent ».
Les blancs sont interdits de participer à ces réunions « non mixtes ». Mais la participation des personnes dont un seul des parents est blanc faisait débat au sein de l’Union des étudiants de France (UNEF). Certains estiment qu’en tant que mi-blancs il faut leur interdire l’accès, d’autres pensent qu’en tant que mi-noirs il faut leur ouvrir les portes. C’est finalement la présidente qui a tranché.
Mélanie Luce a annoncé que les métisses pourront finalement participé à la moitié des réunions. Une sage décision, juste et logique, qui devrait contenter tout le monde.
Dans la même logique, un étudiant issu d’une union mulâtre-blanc (quarteron/quarteronne), ne pourra assister qu’a 1/4 des réunions, contrairement à l’étudiant issu d’une union mulâtre-noir (câpre/câpresse) qui pourra assister aux 3/4 des réunions. Tandis que l’étudiant issu d’une union quarteron-blanc (octavon/octavonne) ne pourra quant à lui assister qu’à 1/8 des réunions non-mixtes.
