Son colistier Jean-Vincent Placé sera son vice-président.
L’ex premier ministre français, détenant le record de candidatures à des élections, devient le 46eme président des États-Unis. Manuel Valls a été élu par défaut grâce à l’article 49.3 de la constitution, étant donné qu’il fut impossible de départager Joe Biden et Donald Trump. Une première pour les USA, qui n’ont jamais eu de président étranger jusqu’à présent et qui auront la chance de découvrir Manuel Valls dans les jours à venir.
Manuel Valls, un homme politique expérimenté qui a déjà participé à de nombreuses élection à travers le monde : en Espagne, En Bolivie, au Liban, en Angleterre, au Vénézuela, en Algérie, en Belgique, au Soudan et même en Corée du Nord, s’est dit prêt à faire profiter l’Amérique, et le monde, de sa ténacité et de sa capacité à s’adapter à toutes les situations.
C’est donc tout naturellement que Manuel Valls, qui de toute sa carrière n’a jamais manquer une occasion d’essayer de se faire élire quelque part, a été choisi pour gouverner l’Amérique. “Je me suis toujours senti américain, let’s go”, confie Manuel Valls au micro de France-Infaux.
Le nouveau président des États-Unis sera secondé par Jean-Vincent Placé. En retrait de la politique Française depuis plusieurs mois, l’ancien secrétaire d’État à la Réforme de l’État et à la Simplification dans le deuxième gouvernement de Manuel Valls, s’est dit très honoré et a d’ores et déjà annoncé qu’il lui faudrait une bonne semaine de gueule de bois avant de se remettre de la fête qui s’annonce…