Menacé de mort, le président de la Fédération nationale des chasseurs, Willy Schraen a rédigé son testament.
Harcelé sur les réseaux sociaux par les défenseurs des animaux, après avoir évoqué, en mai, « le piégeage des chats », le président de la Fédération nationale des chasseurs craint pour sa vie, au point de rédiger son testament, dans lequel Willy Schraen a émis le souhait d’être empaillé après sa mort. « Je voudrais que mon corps repose à côté de ceux de mes trophées de chasse » a fait savoir Willy Schraen au micro de France-Infaux. Plusieurs taxidermistes ont déjà proposé leurs services.
Comme le veut la tradition, la peau de Will Schraen sera retirée de son corps pour être traitée, ses organes internes seront extraits et une armature remplie de paille sera posée sur ses os, avant que les spécialistes lui recolle sa peau. « La nature c’est pas les bisounours » explique le président de la fédération de la chasse quand il évoque ce traitement post-mortem à venir.