Les parents migrants obligés de se soumettre à un test d’odeur afin de pouvoir prouver qu’ils reconnaissent leurs enfants.
Des centaines d’enfants migrants sont encore séparés de leurs parents à la frontière entre les Etats-Unis et le Mexique, bien que le gouvernement Trump ait affirmé avoir mis fin à cette politique inhumaine. Pour prouver que leurs enfants leur appartiennent, les parents sont contraints de passer un test au cours duquel ils doivent renifler différentes couches souillées d’excréments. Le but étant pour eux de reconnaître l’empreinte olfactive de leur progéniture.
« C’est la solution la plus efficace pour prouver qu’un bébé appartient bien aux migrants qui en revendiquent la parenté » explique un porte-parole de l’administration Trump au micro de FranceInfaux. « Il faut vraiment aimer son bébé pour mettre le nez dans son caca et le reconnaître avec sa seule empreinte olfactive » affirme John Shemonyu.
Chaque parent migrant qui revendique la paternité d’un enfant incapable de parler, doit obligatoirement passer par le test d’odeur. Une technique qui a fait ses preuves et grâce à laquelle plusieurs parents ont déjà récupéré la garde leurs bébés. S’ils échouent au test, l’enfant est définitivement confié à l’adoption.