Une question reste sans réponse : pourquoi, diable, les culicidés (oui, c’est le nom scientifique des moustiques !) s’amusent à nous sucer sur tout le corps…hormis sur le visage ?
Le Dr. Swatter, de l’Université de Brooklyn West, a recueilli des ovules de moustique dans pas moins de 15 pays de chaque continent et a effectué un relevé hormonal. De manière stupéfiante, la mélanine (hormone responsable de la pigmentation de la peau notamment) y était 1200 fois supérieure à la normale lorsqu’il l’a comparé aux relevés hormonaux repris par le Dr. Flie, éminent entomologiste britannique du siècle passé (et amateur du pissenlit, du moins on l’espère vu qu’il les mange par la racine depuis 1916).
Comment expliquer cette valeur plus qu’atypique ? Pour cela, il est nécessaire de connaitre un fait, qui peut paraitre anodin, mais qui aboutit à une conclusion étonnante ! Laissons plutôt la parole au Dr. Swatter :
« La mélanine est l’hormone qui colore la peau. Plus on a de mélanine, plus la peau est sombre. Cette hormone est surtout produite dans les os papyracés de la zone temporale (ndlr : sur les côtés du crâne) et agit un peu comme un « double aimant ». Autrement dit, un moustique avec beaucoup de mélanine préférera piquer un corps avec beaucoup de mélanine, mais évitera de se poser dans la région qui produit cette hormone. C’est le même phénomène que l’on retrouve avec les aimants : ils sont attirés par un côté d’un autre aimant, mais repoussé par l’autre. Vu que les os du visage produisent la mélanine, les moustiques l’évitent ».
On aurait pu en rester là, mais cette conclusion amène a une autre question : comment se fait-il que les moustiques se retrouvent avec un taux de mélanine si élevé ? La réponse est donnée par un historien de la CIA qui nous a fournit un témoignage exclusif :
« Au début du 20e siècle, juste après la première guerre mondiale, la CIA a voulu organiser un génocide secret. En injectant de la mélanine dans les moustiques, ils s’assuraient que les bestioles piqueraient surtout les afro-américains …. tout en évitant qu’ils soient piqués au visage, afin de n’éveiller aucun soupçon ».