On connait tous les capacités sensorielles exceptionnelles des nos amis à 4 pattes. Que ce soit l’aptitude des chiens pour repérer les substances illicites, ou pour prévenir les attaques d’épilepsie, plus personne ne remet en doute la capacité surprenante des animaux de compagnie dans le domaine scientifique.
Mais un autre animal bien plus furtif, possédé par 27% des français, est sur le point de damer le pion à toutes les analyses existant sur le marché pour détecter le mal du siècle : le cancer !
En effet, d’après une étude récemment publiée par l’ « American Institute of Cancer », le chat est capable de détecter l’angiogenèse, c’est-à-dire la formation de nouveaux vaisseaux sanguins qui irriguent et alimentent les tumeurs. Ce processus biologique dégage une odeur acide imperceptible pour nous, mais très appréciée des félidés…tellement qu’il pense qu’un aliment savoureux se trouve sur votre peau à l’endroit où se développe la tumeur. La « léchouille matinale », appréciée par certains, détestée par d’autres, n’est donc en rien un « câlin » que vous procure votre animal préféré. Il est simplement attiré par une odeur qui lui est agréable…mais qui, pour l’être humain, est potentiellement mortelle !
Les tests réalisés par l’American Institute of Cancer démontre que, dans 4 cas sur 5, le chat a détecté correctement les patients souffrant d’un cancer et, lorsqu’ils le laissait le matin dans la même chambre que le malade, celui-ci était régulièrement réveillé par une léchouille à l’endroit même de la tumeur (souvent sur la tête, pour le cancer du cerveau).
Si c’est votre cas, le Professeur Dumbass conseil de prendre rapidement rendez-vous chez votre médecin traitant.