C’est une fois de plus au président Donald Trump que l’on doit cette idée, qui va révolutionner l’application de la peine de mort outre-Atlantique. Dans deux tweets, le président américain a reproché mardi aux avions modernes d’être «trop compliqués à piloter», deux jours après le crash d’un Boeing d’Ethiopian Airlines. Aujourd’hui, il vient, à l’instar de nombreux autres gouvernements, d’interdire aux 737 Max de voler au dessus des États-Unis. Finalement, suite à la pression du puissant lobby de l’aéronautique américaine, il accepte un compromis =
L’injection létale, encore pratiquée dans tous les États qui n’ont pas aboli la peine de mort, sera remplacée par un tour en Boeing 737 Max pour les condamnés. Cela permettra aux techniciens de faire des tests pour améliorer leurs appareils. Ce procédé présente le grand avantage de pouvoir procéder à des exécution multiples, 150 personnes pouvant prendre place dans l’appareil. Pour ne pas risquer la vie de pilotes américains, le président accepte d’embaucher des pilotes dépressifs de la Germanwings…. en CDD bien sur.
Pour le condamné, un espoir subsiste : si l’avion arrive à se poser sans encombres après un vol de plus de 4 heures, il sera gracié si il est blanc, le condamné noir gagnera un sursis … jusqu’au prochain vol !
Proposé par Heudebert dans le très select Groupe SecretNews