Coronavirus

Vague de suicides parmi les épidémiologistes qui ne sont plus invités à la télé !

L’heure est grave. Une nouvelle épidémie fait rage dans les milieux médicaux. Depuis que le Covid n’a plus la faveur des médias, de nombreux épidémiologistes et autres virologues sombrent dans la dépression et attendent en vain une invitation pour intervenir dans un JT ou une émission radio.

Une vague de suicide sans précédent est en train de décimer toute une corporation.

Certains d’entre eux ont su rebondir, en devenant des experts patentés en guerre et conflits. Les téléspectateurs ont pu constater par exemple la reconversion express d’Oliv Oliv, qui après avoir fourni ses avis éclairés sur la pandémie de Covid, nous livre maintenant ses analyses pointues sur le conflit entre la Russie et l’Ukraine.

Comme il l’a si brillamment exprimé sur le plateau de TPMP, l’origine du conflit repose sur des accords sur les choses qui n’auraient pas été maintenus par tous les belligérants, suivi d’une entrée de L’OTAN qui aurait fait monter les choses. Il nous explique également que les États-Unis ont « charbonné » pour faire monter les choses, mais que Poutine n’est pas d’accord sur les choses. Ces désaccords ont pour conséquences de faire monter l’escalade de la violence

Selon lui, plus on va monter des sanctions dures, plus on constatera une montée dans l’escalade de la violence.
En conclusion, il a déclaré qu’il fallait chercher la désescalade pour ne pas continuer les escalades.
Pour tenter de résumer sa pensée complexe, on pourrait dire qu’il préconise de faire baisser la descente de la désescalade de la violence.

Mais comme il l’avait également révélé dans une autre de ses interventions, la vraie raison de ce conflit, c’est le gaz de chips.

Mais tous n’ont pas les capacités intellectuelles d’Oliv Oliv et de nombreux médecins n’ont pas réussi à se reconvertir en géopolitologues grâce à une formation accélérée Youtube.

Désespérés de ne plus être les bienvenus sur les plateaux télé, de nombreux experts en infections ont préféré mettre fin à leurs jours, plutôt que de retourner dans l’anonymat frustrant, qu’ils n’auraient d’ailleurs jamais du quitter.

Partager