« La raison me semble évidente : chaque fois qu’un croyant reçoit la communion, il est surchargé d’émotion et fait donc travailler son système limbique. Chaque fois qu’il prie, l’émotion est aussi présente, tout comme lors d’une bonne action ou d’un signe de croix. Cette surcharge émotionnelle crée plus de connexions neuronales et, au final, améliore la santé générale. »