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Par peur d’être logés à Marseille, des réfugiés Afghans retournent à Kaboul

Ils ont vécu l’enfer depuis l’arrivée des Talibans au pouvoir. Ces personnes qui ont travaillé pour l’armée française à Kaboul sont non-seulement traquées par les révolutionnaires, mais il viennent de surcroît d’apprendre que les billets qu’ils avaient achetés pour la première des « Monologues du Vagin » en Afghanistan ne leur seront pas remboursés, après une annulation de dernière minute encore non-expliquée.

Plus rien ne les retient dans leur pays natal et il leur faut prendre le chemin de l’exil vers l’hexagone, où ils seront accueillis chaudement par « Génération Identitaire ».

L’État français a promis de leur procurer rapidement une aide logistique et économique, mais surtout un toit.
De nombreuses communes se sont portées volontaire pour accueillir une ou plusieurs familles de réfugiés.

C’est le cas de la citée phocéenne, dont le maire a annoncé que deux appartements venaient de se libérer dans les quartiers nord de Marseille, deux familles qui ont dernièrement déménagé à la Morgue (Jamais entendu parlé, sûrement un quartier méconnu de la ville).

Au lieu de se réjouir de l’opportunité, les deux familles afghanes qui devaient y emménager sont remontées dans l’avion qui venait de les déposer et qui repartait pour Kaboul.

Selon les courtes déclarations qu’ils auraient faite aux journalistes sur le tarmac, ils semblerait qu’ils préfèrent encore affronter les talibans, plutôt que les turpitudes de la vie marseillaise. Auraient-ils appris que la ville de la Bonne-Mère est également la ville de Jul ? Ont-ils été déçus par la mise en retraite du professeur Raoult ? Nous ne le saurons jamais.
Toujours est-ils que ce n’est pas un bon calcul, puisque les moyens de se défendre sont plus faciles à trouver dans la cité phocéenne, puisque selon le maire : « À Marseille, on peut acheter une Kalachnikov comme on achète un pain au chocolat »

Mais bon, ne le jugeons pas…peut etre préfèrent-ils les chocolatines ?

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