La nouvelle loi « Précarité Globale » prévoit le floutage des plus démunis ainsi qu’une taxation sur la pauvreté.
Dans la loi Précarité globale, qui sera débattue à partir du 27 novembre à l’Assemblée nationale, une disposition en particulier fait polémique. L’article 145 prévoit la création d’une infraction pour toute personne qui diffuserait « l’image du visage ou tout autre élément d’identification » d’un pauvre ou d’une personne précarisée dans le but de dévoiler sa misère au reste de la population.
En pratique, Emmanuel Macron a assuré lors du congrès du syndicat « Pauvre mais fier » qu’il fallait « obliger les télés et les réseaux sociaux à ne pas diffuser les images des visages des plus démunis, mais de les flouter« , pour ne pas faire peur au reste de la population. Autrement, la sanction pourrait s’élever jusqu’à 45.000.000 d’euros d’amende et 15 ans de prison.
Mais cette disposition suscite de nombreuses réactions. Le syndicat des pauvres (SP) et plusieurs personnalités ont parlé jeudi dans une tribune publiée par France-Infaux d’une « volonté de cacher la misère grandissante de la part d’un gouvernement qui favorise les inégalités ».
Cet article a été modifié le 14 décembre 2020 19 h 57 min
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