Henry de Lesquen confesse son addiction au porno : « Les pénis congoïdes me fascinent »

Henry de Lesquen s’exprime sans tabou sur son addiction à la pornographie, une manie qui le poursuit depuis tout petit et avec laquelle il a réussi à composer sa vie. Bien qu’il reconnaisse passer plus de temps que la plupart des gens sur des sites au contenu pornographique, l’homme politique d’extrême droite prétend que cette addiction reste avant tout une passion avant d’être une pathologie même s’il avoue sans honte qu’il n’en fût pas toujours ainsi et que le porno a détruit une certaine partie de sa vie.

«J’étais jeune, j’étais fasciné par les pénis congoïdes, je passais le plus clair de mon temps à me masturber devant des images d’hommes noirs, c’est là que j’ai compris tout le danger que pouvait représenter la race nègre qui porte en elle le vice et la perversion« , confesse l’ex-candidat à la présidentielle. « Mais aujourd’hui j’ai appris à vivre avec ma dépendance, à l’accepter, et je me fixe des limites à na pas dépasser, sinon ça me prendrait tout mon temps», ajoute-t-il en rigolant.

Il est connu que la porno-dépendance provoque l’isolement, une grande irritabilité, la baisse de l’estime de soi, la dépression… Dans Envoyé Spécial Henry de Lesquen raconte comment il a été à deux doigts de devenir un « zombie ». Il décortique bien la spirale infernale dans laquelle il est tombé, lorsque le plaisir disparaît devant le besoin irrépressible. La méthode qu’il a utilisée pour s’en sortir est saluée par le Pr VanderElst : « Il s’agit de pouvoir introduire du contrôle, alors que la personne n’y arrive plus. Cela implique donc de pouvoir s’appuyer sur des systèmes de contrôle externes, librement mis en place avec la victime de l’addiction. »

 

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