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Enfermé dans un supermarché, un breton mange 12 kilos de beurre pendant la nuit

Rennes : Un homme resté enfermé à l’intérieur d’un supermarché Auchan lundi soir en a grassement profité en mangeant plus de douze kilos de beurre, de margarine et de matière grasse avant d’être libéré le lendemain matin.

Georges Rémy, âgé de 37 ans, affirme qu’il a dû utiliser les toilettes du magasin quelques minutes avant l’heure de fermeture et qu’il a échappé à l’attention des employés qui fermaient le magasin pour la nuit.

Une fois sorti des toilettes, les lumières étaient éteintes et le personnel était parti.

M. Rémy affirme qu’il a paniqué lorsqu’il s’est rendu compte qu’il avait laissé son téléphone portable dans sa voiture, alors il a commencé à dévaliser le rayon crèmerie.

« Quand je suis nerveux, j’ai tendance à manger. Quand j’ai remarqué que j’étais coincé dans le magasin, je suis devenu fou et je ne pouvais rien faire d’autre que de me remplir de matière grasse.

Ce matin, le rayon crèmerie du supermarché était vide.

Selon le directeur du magasin, Georges Rémy a mangé un total de douze kilos de beurre et de margarine.

M. Rémy admet qu’il a ingéré de grandes quantités de matière grasse mais prétend que c’était seulement dû à la nervosité.

« J’étais seul dans le noir et j’avais peur. J’ai commencé à manger pour ne pas penser au fait que j’étais emprisonné et j’ai continué jusqu’à ce que je sois libéré.

Malgré les explications de M. Rémy, de nombreuses personnes remettent en question sa version des faits et suggèrent qu’il aurait pu planifier l’incident.

 

Dans la plupart des cas, les clients ne sont pas facturés pour les biens qu’ils ont ingérés pendant leur « incarcération » accidentelle, mais certains magasins ont fait des exceptions notables pour les clients considérés comme ayant délibérément causé leur enfermement.

Depuis 18 mois, le cours mondial du beurre ne cesse d’augmenter. Les conséquences se font aujourd’hui clairement sentir en France. Les rayons de supermarchés sont clairsemés, les professionnels peinent à se faire livrer. Et les consommateurs se ruent sur les plaquettes de peur de manquer. Des conditions idéales pour créer la pénurie.

 

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