Coronavirus

Didier Raoult l’affirme : « Je suis le descendant du Christ »

Après s’être pris pour le Mbappé de la médecine, le professeur Didier Raoult assure être l’un des descendants non reconnus de Jésus Christ. Des prélèvements ADN vont être effectués sur le Saint Suaire de Turin. Les résultats ne seront pas connus avant Noël.

Depuis sa victoire sur la revue The Lancet, rachetée par Le Gorafi, le scientifique marseillais n’a plus l’ombre d’un doute : il descend en droite ligne de la famille des « de Nazareth » ! Pour affirmer sa théorie, il a réussi à se procurer un petit carré du Suaire de Turin pour le faire analyser. Le but ? Savoir si son propriétaire est bien le père de la figure de proue du combat pour l’hydroxychloroquine, comme il le prétend.

«Je suis le successeur de Jésus sur terre, et je veux que la vérité éclate», clame Didier Raoult, d’habitude pourtant discret, humble et modeste. A 68 ans, l’infectiologue marseillais est décidé à faire valoir ses droits. Cet homme au caractère bien trempé est aux anges depuis qu’un juge a décidé d’accéder à sa requête et de procéder à un test de paternité.

Adolescent, Jésus lui venait en rêve et il Lui parlait

 

«Enfin, je vais pouvoir récupérer mon identité», assure-t-il. Les résultats seront rendus au plus tard à Noël, mais, pour le professeur Raoult, c’est une certitude, il partage les gènes du Fils Spirituel. « Tout le monde me dit que je lui ressemble avec ma barbiche, mes longs cheveux et mon caractère bien trempé», explique-t-il dans un sourire.

Adolescent, il rêvait souvent de son arrière-arrière-arrière-…etc…-Grand père, mais n’a jamais osé en parler. Il laisse passer sa chance et ce n’est qu’après sa victoire contre les scientifiques du monde entier et laboratoires pharmaceutiques, qu’il décide de se lancer dans une bataille juridique. « Il aura fallu plus de dix ans pour que je sois enfin entendu.»

Jeudi dernier, à 22 heures, à l’abri des regards, les scientifiques ont procédé à l’extraction d’un morceau du Saint tissu qui sera ensuite comparé à l’ADN de Didier Raoult, à l’Institut de toxicologie du Vatican.

La sexagénaire est bout d’impatience. Bientôt, dit-il, il pourra adopter le nom de « de Nazareth » sans que personne n’y trouve rien à redire. «Beaucoup de gens me soutiennent, mais il y en a aussi qui se donnent un mal de chien pour me discréditer.» Il faut dire que l’enjeu est de taille. Si il est reconnue comme le descendant du Christ, Didier Raoult pourrait réclamer plus que son nom… il pourrait prétendre aux plus hautes fonctions de la République !

«Je sais que mon père serait très heureux de ce dénouement.» Et si les résultats s’avéraient négatifs ? Didier Raoult chasse cette idée de sa main manucurée. «C’est impossible, je le sens, je suis son enfant. L’esprit Sain coule dans mes veines !»

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