Les membres d’une tribu de Yanomami (Venezuela) présentent une grande résistance au coronavirus.
Lorsque l’équipe de chercheurs menée par Didier Raoult, infectiologue marseillais, a rencontré une tribu isolée composée de 54 chasseurs-cueilleurs vivant dans les montagnes reculées de la jungle amazonienne du Venezuela, elle a été très étonnée de constater que le coronavirus n’avait encore fait aucune victime dans cette partie du monde.
Une résistance qui serait directement liée à l’alimentation des indiens d’Amazonie, très riche en fibre de chloroquine. Le produit miracle inventé par le grand-père du professeur Raoult serait présent en grande quantité dans le chloroquinoa, un fruit très consommé par les indiens de Yanomami, leur assurant ainsi une protection naturelle contre le coronavirus.
Aucun décès ni même aucun malade atteint par le covid19 n’a été constaté dans cette tribu vivant dans la jungle du Venezuela. Pourtant, aucun geste barrière n’est respecté, les masques et les gants n’existent pas et personne ne respecte le confinement imposé par le chef de village. Tous les membres de la tribu sont en parfaite santé, la chloroquine ayant des effets positifs qui dépassent la simple épidémie de coronavirus : les indiens de Yanomami paraissent tous avoir 10 ou 15 ans de moins que leur âge supposé.
En effet, la chloroquine en petite quantité prise pendant plusieurs années permet de rajeunir le corps, de ralentir la perte des cheveux et l’apparition des rides. Un homme déclaré mort pendant trois jours à même été ressuscité grâce à un traitement homéopathique à base d’huile essentielle de chloroquine. Un traitement miracle que le gouvernement refuse à la population, pour d’obscures raisons.
Les tribus d’Amazonie résistent au Covid19 grâce à une alimentation riche en chloroquine
Covid_19 : leur alimentation riche en chloroquine protège les indiens d’Amazonie