Entre 400 à 600 chameaux sont toujours présents dans des camps sauvages à Calais et ses environs, dans le Pas-de-Calais. Pourtant, une nouvelle structure d’accueil vient de voir le jour. Cette étable va permettre aux migrants de parquer leurs chameaux avant de rencontrer des équipes de l’office français de l’immigration et de l’intégration et ainsi, accélérer les procédures de demande d’asile pour eux-même et leurs animaux à bosses. « C’est conçu comme une étable temporaire pour une orientation vers d’autres solutions d’hébergement, une fois les situations examinées », selon le préfet du Pas-de-Calais, Fabien Sudry.