C’est sur un site de fouille archéologique près de Nancy qu’une équipe scientifique de la Fondation de recherche historique iranienne a découvert ce qui est présumé être le tombeau d’une des plus célèbres figures de l’Histoire de France, Jeanne d’Arc. Sur le site, les archéologues iraniens ont également trouvé une preuve que la pucelle d’Orléans aurait pu être une grosse consommatrice de skunk.
La structure simpliste qui a été surnommée par ses découvreurs, « Le tombeau de Jeanne », contenait le squelette d’un corps calciné. Les inscriptions sur les cercueils de pierre rugueuse semblent relier les tombeaux à la famille d’Arc, le cadavres a été identifié comme étant celui de Jeanne d’Arc, même si de plus amples analyses doivent encore être effectuées en laboratoire.
Un objet a particulièrement attiré l’attention des scientifiques: un petit objet en bois en forme de pipe qui, après une enquête et une analyse supplémentaires, a révélé qu’il contenait de la résine de cannabis.
« Cela pourrait apporter la lumière à l’une des parties les plus sombres de l’histoire de France » explique Arsalan Pakdamoun, l’archéologue responsable du site. « Si Jeanne d’Arc était toxicomane, cela pourrait expliquer ses visions et ses comportements suicidaires. Nous ne pouvons pas arriver à des conclusions aussi claires pour l’instant, mais les preuves semble conduire dans cette direction. Cela pourrait apporter une nouvelle explication à la mort de Jeanne d’Arc « .