C’est une nouvelle proposition de loi défendue par la secrétaire d’Etat à l’Egalité entre les femmes et les hommes qui entend donner le choix aux agresseurs sexuels entre une condamnation à une peine de prison, ou une condamnation à lire l’ensemble des ouvrages de Marlène Schiappa.
Selon ACAT, l’ONG chrétienne contre la torture et la peine de mort, il n’est pas légal d’obliger un individu condamné à devoir lire de telles horreurs. Selon l’association, cette mesure est une porte ouverte vers la réhabilitation de la torture au sein de notre système judiciaire.
Selon un sondage IPSOS réalisé en milieu carcéral, 91% des détenus prétendent préférer voir leur peine de prison tripler plutôt que d’être contraints de lire les livre de la secrétaire d’État.
Dans « Si souvent éloignée de vous », écrit en exercice, la secrétaire d’État partage les lettres qu’elle écrit à ses filles de 11 et 6 ans dès qu’elle n’est pas auprès d’elles.
Après avoir appris que les condamnés auraient le choix entre la lecture des lettres « malaisantes » de leur maman et un placement en détention, les deux enfants ont conjointement demandé d’être incarcérée à la PMEL (Prison pour Mineurs Émile Louis).