Alors qu’on est toujours sans nouvelle du leader nord-coréen, l’ex premier ministre français, détenant le record de candidatures à des élections, se lance à l’assaut de la dictature communiste.
Les rumeurs circulant depuis plusieurs jours sur l’état de santé du leader nord-coréen sont de plus en plus nombreuses, et les questions sur sa succession se font plus pressantes. Les candidats possibles ne sont pas tous connus, mais certains ont fait par de leur volonté de se porter candidat. C’est le cas de Manuel Valls, qui a d’ores et déjà annoncé qu’il se voyait bien remplacer Kim Jong Un à la tête de la Corée du Nord.
Manuel Valls ne rate jamais une occasion d’essayer de se faire élire quelque part, c’est donc tout naturellement que l’ancien ministre a annoncé sa candidature à Pyongyang. “Surtout que dans ce cas-ci il n’y pas besoin de se faire élire, c’est plus facile”, confie Manuel Valls aux journalistes lors d’une conférence de presse.
Manuel Valls, candidat expérimenté déjà engagé dans de nombreuses courses électorales à travers le monde : en Espagne, En Bolivie, au Liban, en Angleterre, au Vénézuela, en Algérie, en Belgique, au Soudan et même à Levallois, s’est dit prêt à faire profiter Paris de sa ténacité et de sa capacité à s’adapter à toutes les situations.
